Le Patrimoine de GUJAN-MESTRAS
LA NAISSANCE DU CAPTALAT DE BUCH
Après la mort de son père Charles VII, le roi de France Louis XI avait rendu aux captaux de Buch leurs biens, confisqués après la bataille de Castillon en raison de leur attachement et de leur fidélité à la couronne d’Angleterre.
De retour d’exil, Jean de Foix Candale trouve en 1468 sa seigneurie de Buch en grande partie dépeuplée et octroie une première « baillette » en faveur de Gujan, La Teste et Cazaux qui procurait des avantages aux habitants des trois paroisses qui composaient le « Captalat de Buch ». Les droits des habitants furent confirmés par la suite dans de nombreuses transactions passées avec le seigneur du Captal de Buch et notamment en 1535, 1550, 1604 et 1645. Ces droits sur « la montagne » qui existent toujours, quoique difficilement applicables, n’ont cessé de donner lieu à de graves contestations, essentiellement en 1793, où une pétition de la masse des habitants du Captalat revendiqua des droits de propriété sur toute la forêt. Ces avantages obtenus dès 1468 et formulés pour la première fois par Jean de Foix Candale peuvent de nos jours se résumer à ceci : tout habitant résidant depuis cinq ans dans les communes de Gujan et La Teste (Cazaux fait partie de La Teste) peut demander à des syndics élus de se faire délivrer le bois de pin nécessaire à son chauffage et à ses constructions (maison et bateau). Il peut, également, ramasser du bois mort, incendié ou sinistré ne pouvant plus donner résine. Enfin, tout habitant possède le droit de glandage, herbage et pacage.
LA PAROISSE DE GUJAN AU XVIII° SIECLE
En 1726 la paroisse de Gujan compte environ 1500 habitants. La partie cultivée est relativement peu importante car les habitants préfèrent retirer leurs subsistances de la mer plutôt que de la terre ; la pêche fournit du beau poisson, et les huîtres et coquillages sont toujours très abondants. La plus grande partie de la paroisse est constituée par des landes qui s’étendent jusqu’à Cazaux. Ces landes sont d’ailleurs très utiles à cette époque et ne constituent pas un terrain perdu ; elles servent à la pâture des bestiaux et principalement des brebis qui se plaisent beaucoup sur ces terres, ainsi que sur les prés salés, et y trouvent une nourriture plus saine que partout ailleurs. La partie de Gujan cultivée est composée de terres labourées (froment, seigle, blé noir, maïs…) et de vignes situées en bordure du bassin. Cette période, prospère semble-t-il, ne sera freinée que par a Révolution dont notre région, bien qu’isolée, subira tout de même les graves conséquences. Ainsi en 1789 le Captalat de Buch est très affaibli et, dès l’an II de a République, son dernier seigneur, François Amanieu de Ruat, renonce à tous ses droits féodaux, laissant les habitants aux prises avec le droit d’usage. La nouvelle administration conserve alors les limites des anciennes paroisses mais supprime Cazaux qui sera rattaché à La Teste.
Après la Révolution, l’administration révolutionnaire, qui vient de créer officiellement les communes, laisse Gujan aux prises avec d’énormes difficultés. En ces années troublées qui succèdent à la Révolution de 1789, il faut faire face aux abus de la conscription qui puise dans la jeunesse Gujanaise un important contingent de marins partant servir dans les armées de Napoléon 1er. En même temps survient la terrible gelée de l’an X qui détruit la presque totalité des vignes du pays. Privés de revenus substantiels, en proie aux graves suites des procès Nezer, « La Montagne » et les « biens communaux », aux difficultés des communications dans la commune en raison de chemins vicinaux trop étroits (deux charrettes ne pouvant se croiser) et avec Bordeaux (le chemin qui y conduit est impraticable six mois à cause des crues de la Leyre), les maires, soucieux d’administration et de réalisme se heurtent à de gigantesques problèmes, mais réussissent quand même à donner à notre commune un aspect accueillant. Dans « le guide de l’étranger sur le chemin de fer de La Teste » en 1841, l’auteur nous dit : « A Mestras, le chemin de fer passe près des maisons basses qui donnent un aspect riant et plein de vie, tous les voyageurs sont agréablement surpris. Au moment de la haute mer, le Bassin, dont les flots viennent battre les bords de la levée du chemin de fer, présente un spectacle magnifique. On aperçoit à certains moments une multitude de barques qui voguent à toutes voiles. Les cultures principales sont la vigne, le froment, le seigle, le mil, le maïs et la pomme de terre, se cultivant en-deça et au-delà des quelques bois de pins. La vigne donne un assez bon revenu. Le vin se vend couramment 45 à 50 F (la barrique bordelaise). »
Un petit commerce se développe alors : lorsque le chemin « Lou camin de Bourdéou » est praticable avec charrettes et chevaux, les pêcheurs de Gujan apportent ainsi le plus gros de leur pêche (poisson et huîtres) à Bordeaux en empruntant un chemin difficile et très sablonneux qui existe toujours (témoin le chemin « des poissonniers » entre Mestras et Le Teich).
Le surnom collectif des habitants de Gujan, avant que la commune ne s’associe avec Mestras est :
»Barbots »
En gascon, le barbot est un insecte comme la coccinelle et celle-ci est devenue l’emblème de la commune de Gujan-Mestras.
Les Gujanais ont hérité ce chaffre* au cours du xixe siècle alors que leur vignoble était régulièrement attaqué par des prédateurs, en particulier l’eumolpe. Cet insecte attaque les feuilles de la vigne et l’empêche de s’épanouir. Les édiles locaux conseillaient aux paysans de brûler les feuilles et les pampres endommagés mais beaucoup préféraient, par superstition, s’en remettre au curé de la paroisse. Plusieurs processions défilèrent dans les règes pour une bénédiction des vignes. Cela provoquait les moqueries des communes voisines où, par dérision, l’on finit par appeler tous les habitants de Gujan des barbots. Et lorsque des Testerins croisaient des Gujanais, ils les interpellaient: «Hou! lous Barbots!». Ce à quoi les autres répondaient invariablement : « Vos cagui sus pots!» («Je vous chie sur les lèvres ! »)
De sujet de moquerie, la coccinelle (plus esthétique que l’eumolpe!) devint l’emblème municipal, en 1921, après que les joueurs de rugby de Gujan eurent arboré cette figure sur leur maillot.En fait, l’affluence des parasites de la vigne était déjà attestée au XVIIIe siècle. Les archives de la ville prouvent qu’en 1725 un fonctionnaire constatait l’abondance de barbottes dans les vignes et, plus tard, un conseiller général préconisait de brûler les plants infestés par ces bestioles. A l’époque, les vins de Gujan et de La Teste étaient connus et appréciés ; on les exportait vers la Bretagne et le Pays basque.
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Les Maires de la Commune :
1790 - Mathieu DUNOUGUEY ( 1er Maire de la commune)
1792 - An I de la République
1793 - Gaston CAUPOS – période Révolutionnaire – Restauration et date de création de la Commune
1803 - Jean DUMUR ainé
1808 - Jacques GARNON – 1er Empire
1813 – Jean DANEY ainé – Monarchie Costitutionelle
1821 – Jacques GARNON – Maître en Chirurgie
1831 – Martin Jules CAMELEYRE – 2ème Restauration
1848 – Barthélémy DAISSON – 2ème République
1851 – Pierre Eugène DIGNAC – Second Empire
1870 – Michel DUVERGE – 3ème République
1873 – Antoine DAISSON – 3èmeRépublique
1877 - Pierre Eugène DIGNAC – 3ème République
1878 – Edouard LARROQUE – 3ème République
1898 – François BROUSTAUT – 3ème République
1904 – Armand DANEY -3ème République
1908 – Aurélien DAISSON - 3ème République
1912 – Armand DANEY - 3ème République
1914- Jules BARAT – 3ème République
1919 – Louis DUFOURG – 3ème République
1925 – Jules BARAT – 3ème République
1929 – Raymond LARRODE – 3ème République
1935 – Louis BEZIAN – 3ème République
1940 – Louis BEZIAN – Etat Français
1944 - Charles MARTIN – Gouvernement Provisoire
1946 - Paul POUGET – 4ème et 5ème République
1965 - Michel BEZIAN – 5ème République
Depuis 2006 Marie-Hélène DES ESGAULX – 5ème République
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GUJAN-MESTRAS se situe au sud du Bassin d’Arcachon, en Pays de Buch. Considérée comme la capitale de l’Ostréiculture Arcachonnaise avec ses 7 ports ostréicoles tournés vers le Bassin.
En 2006, Madame Marie Hélène DES ESGAULX a été élue Maire, devenue depuis Sénateur, elle gère une population d’environ 18 000 personnes.
GUJAN-MESTRAS est aussi une ville où le bénévolat et le monde associatif est particulièrement important, notre ville compte environ 180 associations déclarées.
Un exemple : environ 1000 bénévoles oeuvrent Pendant les Fêtes de LARROSTREA et de GUJAN-MESTRAS en FETES.
Les principaux pôles d’activités de
GUJAN-MESTRAS :
L’Ostréiculture et les 7 ports
de GUJAN-MESTRAS :
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La HUME qui allie ostréiculture et Plaisance
Alimenté par le qui se jette dans l’estey de la Hume, le port de la Hume voit l’implantation de quelques cabanes de marins dans la deuxième moitié du XIXème siècle. Les transformations du port aboutirent en 1959 à la création d’un terre-plein central sur lequel s’établirent 27 établissements ostréicoles, et d’une darse qui deviendra dans les années 1984-1985 l’actuel port de plaisance. Aujourd’hui, le port de la Hume, avec à proximité sa belle et grande plage bordée de tamaris, est un lieu de villégiature et de promenade au cadre harmonieux très apprécié.
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MEYRAN
Etabli en bordure de l’Estey de Meyran, il ne fut pendant des années qu’un port d’échouage.
Voué à la pêche et à l’ostréiculture, le port de Meyran servit de terminal, de 1919 à 1935, à la ligne de chemin de fer Decauville, par laquelle étaient acheminés les poteaux de mines provenant de la forêt girondine et landaise.
Les poteaux étaient alors chargés sur des barges tirées par deux remorqueurs assurant une rotation jusqu’aux cargos devant Arcachon, en partance pour l’Angleterre. Les travaux de creusement et d’agrandissement, dès 1959, permirent de réaliser 4 terre-pleins, occupés ensuite par des établissements ostréicoles.
Voué à la pêche et à l’ostréiculture, le port de Meyran servit de terminal, de 1919 à 1935, à la ligne de chemin de fer Decauville, par laquelle étaient acheminés les poteaux de mines provenant de la forêt girondine et landaise.
Les poteaux étaient alors chargés sur des barges tirées par deux remorqueurs assurant une rotation jusqu’aux cargos devant Arcachon, en partance pour l’Angleterre. Les travaux de creusement et d’agrandissement, dès 1959, permirent de réaliser 4 terre-pleins, occupés ensuite par des établissements ostréicoles.
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GUJAN
Ce port fut longtemps un port d’échouage établi sur les rives du ruisseau de Gujan qui va se jeter dans l’Estey de Larros
En 1883, des travaux d’amélioration prévoient le creusement d’une darse. Les terres provenant du creusement servent à la création de terre-pleins où s’établissent de nombreuses cabanes pour l’ostréiculture.
Implanté sur ce port en 1843, l’établissement des Bains gujanais, connaît un très grand succès durant près de 70 ans. On accédait alors aux cabines par une passerelle longue de 450 m.
Le port appelé un moment « port de la passerelle » tire donc son nom de ce fameux établissement.
Le port de Gujan fut également un port sardinier très actif comptant plusieurs conserveries.
En 1883, des travaux d’amélioration prévoient le creusement d’une darse. Les terres provenant du creusement servent à la création de terre-pleins où s’établissent de nombreuses cabanes pour l’ostréiculture.
Implanté sur ce port en 1843, l’établissement des Bains gujanais, connaît un très grand succès durant près de 70 ans. On accédait alors aux cabines par une passerelle longue de 450 m.
Le port appelé un moment « port de la passerelle » tire donc son nom de ce fameux établissement.
Le port de Gujan fut également un port sardinier très actif comptant plusieurs conserveries.
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LARROS avec sa jetée promenade, les constructions navales et un petit musée dédie à la culture de l’huître dans le Bassin d’Arcachon
En 1883 et 1884 une darse de 110 m de long est creusée et un terre-plein édifié. Le talus intérieur se prolonge par une jetée, terminée en son extrémité par la Croix des Marins, érigée en 1891.
Entre les deux guerres, Larros est un port de pêche important qui arme les bateaux pour la pêche à la sardine, abondante dans le Golfe de Gascogne.
Plusieurs conserveries s’installent alors au voisinage des ports gujanais. Les sardines, migrant vers l’Espagne et le Maroc, les usines ferment progressivement.
Le Port de Larros est également un site de construction navale reconnu. Fourton, Dubourdieu, Pradère, Lapeyre…toutes sortes de bateaux sortiront de ces chantiers : pinasses ostréicoles, sardinières, pinassottes…
Aujourd’hui, le chantier naval COUACH est le premier constructeur français de yachts. Cette haute technologie du XXIème siècle côtoie toujours sur le port, le chantier Dubourdieu, virtuose de la construction traditionnelle qui redonne vie aux pinasses et autres embarcations traditionnelles.
Entre les deux guerres, Larros est un port de pêche important qui arme les bateaux pour la pêche à la sardine, abondante dans le Golfe de Gascogne.
Plusieurs conserveries s’installent alors au voisinage des ports gujanais. Les sardines, migrant vers l’Espagne et le Maroc, les usines ferment progressivement.
Le Port de Larros est également un site de construction navale reconnu. Fourton, Dubourdieu, Pradère, Lapeyre…toutes sortes de bateaux sortiront de ces chantiers : pinasses ostréicoles, sardinières, pinassottes…
Aujourd’hui, le chantier naval COUACH est le premier constructeur français de yachts. Cette haute technologie du XXIème siècle côtoie toujours sur le port, le chantier Dubourdieu, virtuose de la construction traditionnelle qui redonne vie aux pinasses et autres embarcations traditionnelles.
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Du CANAL
A l’origine, ce port a été creusé par des colons de la Compagnie Ouvrière de Colonisation des Landes de Gascogne, afin de construire la digue qui menait à l’établissement de bains de Mestras, vers 1850.
Large de 10 mètres, il avait une structure similaire à un canal d’où son nom.
Avec le développement de la pêche et de l’ostréiculture, il fut transformé en port, avec la construction d’une darse ainsi que d’un bassin de chasse, permettant d’avoir un flux permanent d’eau afin d’éviter l’envasement.
Un second port à l’Ouest a permis aux ostréiculteurs, en même temps que la création d’un complexe ostréicole important, de pouvoir commercialiser leur produit en toute sécurité.
Large de 10 mètres, il avait une structure similaire à un canal d’où son nom.
Avec le développement de la pêche et de l’ostréiculture, il fut transformé en port, avec la construction d’une darse ainsi que d’un bassin de chasse, permettant d’avoir un flux permanent d’eau afin d’éviter l’envasement.
Un second port à l’Ouest a permis aux ostréiculteurs, en même temps que la création d’un complexe ostréicole important, de pouvoir commercialiser leur produit en toute sécurité.
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De la BARBOTIERE, pôle ostréicole avec le Lycée des Métiers de la Mer et la Maison de la Conchyliculture
En 1925, alors que le site est occupé par une dizaine de cabanes de pêcheurs, Jean PARSON construit un abri pour « les amateurs de bain froid ». Très vite l’établissement, baptisé «La Barbotière » connaît un grand succès et devient un lieu de fête avec salle de danse et buvette.
En 1934, la guinguette ferme mais le nom de « Barbotière » reste et désigne encore aujourd’hui ce port qui auparavant, s’appelait « Port de Mestras ». Equipé de complexes ostréicoles modernes, l’activité du port de la Barbotière est très importante. Le Lycée de
la Mer, construit en 1991, forme chaque année de nombreux jeunes à tous les métiers de la mer et notamment à la conchyliculture.
En 1934, la guinguette ferme mais le nom de « Barbotière » reste et désigne encore aujourd’hui ce port qui auparavant, s’appelait « Port de Mestras ». Equipé de complexes ostréicoles modernes, l’activité du port de la Barbotière est très importante. Le Lycée de
la Mer, construit en 1991, forme chaque année de nombreux jeunes à tous les métiers de la mer et notamment à la conchyliculture.
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De LA MOLE
Bordé par les réservoirs à poissons, ce port n’est plus en activité car il n’a jamais été dragué et reste très difficile d’accès.
De l’ancien moulin à eau présent sur ce port, vous ne trouverez plus aujourd’hui que les vestiges d’une meule longtemps exposée aux vents et marées au milieu des prés salés.
Ce port fut donc baptisé logiquement la Mole qui en Gascon signifie la Meule …
La Construction Navale :
DUBOURDIEU :
Traversant sans interruption deux siècles et 6 générations, le chantier naval Dubourdieu devenu aujourd’hui « DUBOURDIEU 1800« construit sur mesure des bateaux en bois à l’unité, de la pinasse traditionnelle au yacht de plaisance, respectant la même rigueur et la même passion afin de donner aux bateaux cette âme incomparable, cette élégance intemporelle.
Les Etablissements Guy COUACH :
Entreprise capable de produire des bateaux de grand luxe comme des bateaux pour les Marines Nationales de divers pays étrangers ou des modèles particuliers.
Les Chantiers Navals DEBORD
Le but des Chantiers DEBORD est de contruire des bateaux respectant la cuture et les traditions de la région tout en utilisant des matériaux et des processus de fabrication modernes. Implantés au port de Meyran ils assurent aussi la réparation et la maintenance maritime.
Pinasse coque plastique
Un bateau à roue pour le transport de touristes naviguant sur le Lac du BOURGET
Une Gabare pour le transport de touristes naviguant sur l’ISLE
Un bateau à toit télescopique, permettant de passer facilement sous les ponts bas, pour le transport de touristes.
Les ateliers Chaudronnerie Aluminium Inox (CAI), un autre type de construction navale, spécialisés dans la réalisation de bateaux en aluminium et dans la soudure alu et inox.Technique proche de la construction aéronautique.
Un fileyeur de 10 mètres en cours de réalisation
L’entreprise gujanaise vient de remporter un appel d’offres pour la construction d’un bateau destiné à la Marine nationale. Il s’agit d’une barge de dépollution pour le Cepolle (cellule de dépollution), basé à Nouméa.
Une multitude de petits ateliers assuant la Réparation, l’Entretien ou l’Hivernage des bateaux professionnels ou de Plaisance.
ATLANTIQUE MARINE CONSTRUCTION, Port De Larros Activité: Réparation navale
CHANTIER NAVAL DE LARROS, Port De Larros Activité: Construction de bateaux de plaisance
CHANTIER NAVAL MADIANA, Port De Meyran Est 60 Activité: Construction de bateaux de plaisance
COLMAIRE JACKY, Cabane 30 30 Qu Port De La Hume Activité: Construction de bateaux de plaisance
EMBARC, Port De La Barbotiere Activité: Construction de bateaux de plaisance bateaux de plaisance
MECAMER, 44 Bd Pierre Dignac Activité: Réparation navale
PATANCHON MICHEL, Port De Larros Activité: Réparation navale
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Le Lycée des Métiers de la Mer
Construction 1991, Restructuration 2009, Superficie de plus de 4 hectares, 700 apprenants, 120 adultes pour encadrer,
1 Lycée Général et Technologique,
1 Lycée Professionnel, formation en 3 ans, Bac Pro Mat Composites et plasturgie, Technicien Menuisier Agenceur, Maintenance Nautique, Productions Aquacoles, Cultures Marines; ou Cap de Menuisier, Charpente Navale .
1 CFA avec les filières suivantes : Bac Pro Cultures marines, Bp Charpente Navale, Bts Technico-commercial des IN
1 Centre de formation pour adultes
La Zone Artisanale NAY
Les zones d’activités à vocation essentiellement tertiaire ou artisanale sont intégrées préférentiellement dans le tissu urbain ou en bordure de celui-ci.
La Zone Artisanale de Gujan est située en entrée de ville. Créée en 1985, elle comprend 38 lots. Le règlement applicable sur cette zone est le PLU.
La Zone Artisanale de Gujan est située en entrée de ville. Créée en 1985, elle comprend 38 lots. Le règlement applicable sur cette zone est le PLU.
Les Zones de Loisirs :
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Le parc Aquatique AQUALAND,
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Le Parc Animalier de La COCCINELLE,
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Le Kit Parc Aquitaine
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Bassin Aventure
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Le Mini Golf
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Le Pacha Plage
Le Golf de GUJAN-MESTRAS avec ses 2 parcours ludiques, 9 et 18 trous, de notoriété internationale alliant difficulté technique et tracé esthétique.
Comme les célèbres parcours de Floride, le golf de GUJAN-MESTRAS épouse au mieux la nature qui l’environne : forêt de pins, lacs et bunkers de sable blanc sont les éléments d’un décor grandiose qui inspire l’exploit.
L’Aérodrome de VILLEMARIE
L’Aérodrome de Villemarie, créé le 24 mai 1948, fut la première réalisation due à la coopération intercommunale (La Teste de Buch, Arcachon, Gujan-Mestras et Le Teich). L’aéro-Club du Bassin d’Arcachon propose de découvrir le Bassin d’Arcachon vu du ciel avec des vols de 30 mn. En prise sur les communes de La Teste de Buch et de Gujan Mestras, l’aérodrome de Villemarie dispose d’une piste en dur de 1400 mètres et d’une piste en herbe de 1180 mètres. Le ravitaillement en lubrifiants et carburant (100LL et JET) est possible sur place.
Il va bientôt s’agrandir. En effet, le dossier du projet d’agrandissement a été présenté lors du dernier conseil de la COBAS. Il vise notamment à développer l’aviation d’affaires sur le Sud Bassin. Cela impliquera une restructuration des infrastructures existantes (tour de contrôle, hangars…). Sont également basés sur le train un club de parachutisme, un club de vol à voile, un club d’aéromodélisme et un club d’ULM.
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Les principaux sites à visiter :
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La Maison de l’Huître au port de LARROS
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L’église Saint-Maurice du XIVème siècle avec son retable baroque du XVIIème siècle baroque du restauré en l’an 2000.
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Le parc de La Chêneraie où l’on peut découvrir le Canal des Landes. Cette voie artificielle est un vestige de VAUBAN qui aurait dû permettre de relier le Bassin d’Arcachon à Bayonne à travers les étangs landais. Grâce à cette réalisation monumentale, des investisseurs audacieux tentèrent diverses cultures dont le riz. Faute de bras et d’eau, ce projet ne fut jamais achevé.
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Le Sentier du Littoral Reliant les 7 Ports de Gujan-Mestras et se poursuivant jusqu’au Parc Ornithologique du Teich, le sentier du littoral vous invite à une balade étonnante au coeur du patrimoine.
Dans un environnement naturel préservé, aux contours changeants selon l’amplitude des marées, votre parcours alterne vues panoramiques et rencontres authentiques dans l’esprit du Bassin.
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