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Archive pour décembre, 2019

Le Village de Noël du 15 décembre 2019 avec GMA

Posté : 18 décembre, 2019 @ 12:25 dans Albums Photos, Les Activités de l'Association | Pas de commentaires »

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Quelques photos de cette journée autour

de la Mairie de Gujan-Mestras.

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KODAK Digital Still Camera

Pour visionner les photos, cliquez sur le lien ci-dessous :

Village de Noël 2019
Album : Village de Noël 2019
En vrac, quelques photos de ce dimanche 15 décembre autour de la Mairie de Gujan-Mestras.
99 images
Voir l'album
 

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Réunion du 29 Novembre 2019

Posté : 16 décembre, 2019 @ 5:28 dans Les Rendez-vous Mensuels | Pas de commentaires »

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KODAK Digital Still Camera

KODAK Digital Still Camera

C’est dans une salle décorée pour la circonstance, que 80 de nos adhérents sont venus écouter Mr Philippe TRAISSAC, Vice Président de la Banque Alimentaire de Bordeaux et de la Gironde, nous parler de son action :

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Approche du sujet de cette réunion :

Depuis 35 ans, les Banques Alimentaires agissent contre la pauvreté et la précarité alimentaire.

La lutte contre la précarité alimentaire

En France, 8.8 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté, soit 14% de la population française (INSEE). 

Aujourd’hui, plus que jamais, la lutte contre la précarité continue. 19.1% des étudiants vivent en-dessous du seuil de pauvreté (IGAS) ainsi que 7.3% des retraités (ONPES).

 Les femmes représentent 57% des bénéficiaires du RSA.

L’aide alimentaire concerne 4.8 millions de français (DGCS, 2015) : un chiffre sous-estimé par rapport aux besoins réels.

La demande de l’aide alimentaire reste une démarche difficile, mal connue.

Sur ces 4.8 millions de personnes, le réseau des Banques Alimentaires permet d’en aider 2 millions, soit près de 1 bénéficiaire sur 2. 

L’insécurité alimentaire, une conséquence de la pauvreté 

Faire ses courses, ouvrir son frigidaire, aller au restaurant, préparer le repas, nombreux sont les actes liés à l’alimentation accomplis tous les jours.

Nous les réalisons naturellement sans nous rendre compte de leur portée. Ils sont pourtant des actes forts du quotidien.

Ils construisent notre bien-être et participent activement à créer ce lien social fondamental à l’être humain. Ne pouvoir accéder en quantité suffisante à une nourriture saine et équilibrée, c’est s’exclure, c’est rompre le lien social, c’est ouvrir la porte aux problèmes de santé et de bien-être. La peine est triple.

A court terme, c’est d’abord le sentiment de faim et d’épuisement, conséquence des repas sautés. S’ajoutent les maladies physiques et psychologiques : à moyen terme, l’insécurité alimentaire engendre de l’anémie, un déficit en vitamine D notamment chez les femmes, mais aussi du diabète, du cholestérol.

Enfin, une alimentation insuffisante favorise l’isolement liée à la honte de ne pouvoir se nourrir seul, et trace la voie de l’exclusion.

L’insécurité alimentaire reste, encore aujourd’hui, caractéristique de la pauvreté dans les pays du Nord, et notamment en France.

Sortir de l’invisibilité sociale 

L’invisibilité sociale est une conséquence directe d’une situation de précarité où l’individu fait face à un déni de reconnaissance de son environnement social. 

Les Banques Alimentaires collectent des denrées alimentaires et les redistribuent aux associations partenaires au profit des bénéficiaires, pour leur permettre de consacrer plus de temps à leur mission de lien social. Les personnes démunies peuvent alors retrouver une sécurité alimentaire, une autonomie sociale. 

Le profil des bénéficiaires de l’aide alimentaire 

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L’étude réalisée par l’institut CSA en 2018 confirme l’évolution des profils des bénéficiaires.

  • 84% ont un logement stable
  • Le profil d’emploi reste précaire ou à temps partiel, avec un tiers des bénéficiaires au chômage (30%)
  • La majorité sont des personnes isolées et des familles monoparentales 
  • 69% des bénéficiaires sont des femmes et 33% des familles monoparentales
  • 27% sont divorcés ou séparés
  • 71% vivent avec moins de 1000€ net par mois et par foyer

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Philippe TRAISSAC lors de son intervention

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Comme des actions sont encore en cours pour 2018 et ce W.E en particulier, je vais vous parler principalement du bilan de 2018, car en 2019 le principe est le même, avec tout d’abord un mot du Présidents de la Banque Alimentaire de Bordeaux et de la Gironde

Le chiffre est brutal : 200 000 personnes, en Gironde, vivent sous le seuil de pauvreté, dont 43 000 sur la seule Métropole bordelaise.

S’il faut croire les chiffres, nous ne pouvons pas les accepter ! La réponse des gilets orange, en Gironde, les « banquiers du cœur », est sans équivoque ! La mobilisation de chacun, reprise au travers de ce rapport d’activité, traduit l’élan du cœur de tous, élan qui entraine d’innombrables partenaires qui œuvrent au quotidien sur tout le territoire girondin.

Que chacun : bénévole, permanent, partenaire, financeur, mécène, trouve ici l’expression de toute notre reconnaissance, au nom des plus de 18 000 bénéficiaires démunis qui accompagnent hebdomadairement les 135 partenaires réguliers de notre Banque Alimentaire…

Car, oui, s’il nous faut bien nous mettre à l’évidence des chiffres, nous ne pouvons pas les accepter ! A cet instant où s’expriment nos remerciements, vous me permettrez d’y associer l’ensemble de mes prédécesseurs ! Leur engagement sans faille a traduit ce qui reste, depuis 35 ans déjà, l’obsession de toute la communauté des gilets oranges : « aider l’homme à se restaurer ! »

Mais pour 2019, la famille de la Banque Alimentaire de Bordeaux et de la Gironde tient à saluer l’exemple que fut pour chacun de nous l’engagement de notre ami Jef, mon prédécesseur, lui qui a si bien incarné les valeurs de notre association « 

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Pierre POUGET

Président de la Banque Alimentaire de Bordeaux et de la Gironde

 Les temps forts de l’année 2018

Collecte nationale : exceptionnelle

Avec une croissance à deux chiffres (+10,84%), la collecte nationale en Gironde a dépassé les 400 tonnes et… toutes nos attentes. Près de 3000 bénévoles de tous âges et de tous horizons dans près de 300 magasins ont collecté 409 tonnes les 30 novembre, 1er et 2 décembre-Un joli succès que l’on doit à la mobilisation de nos réseaux sur fond de frilosité des dons.

La première soirée des bénévoles : la fête de famille

Nous étions près de 180, bénévoles, salariés et familles réunis sur le quai de la BA autour d’une immense table. Cette première édition a joué sur l’émotion, le rire, la bonne chère grâce à nos amis de Gargantua et l’équipe de cuisine de la BABG, la musique tonique avec Éric et ses talentueux renforts, l’émotion avec les poèmes d’Oumar… Un joli moment de convivialité.

Le monde du Vin : solidaire et généreux

Nous sommes passés à la vitesse supérieure avec, pour la première fois, l’organisation de deux ventes pour les bénévoles, les associations et les amis de la BABG, au printemps et en automne. Cette année, la vente aux enchères publique du 8 novembre a battu tous les records et largement dépassé nos espérances, preuve de la solidarité de la filière viticole.

L’Épicerie Itinérante : c’est parti

Présenté officiellement le 23 janvier, le camion de l’Épicerie Itinérante a fonctionné pour la première fois au début du mois d’août auprès de bénéficiaires de Sainte-Foy-la-Grande. Dans un second temps, l’activité auprès des étudiants des campus bordelais a été lancée le 1er octobre. Elle continue au rythme de deux fins de journée par semaine.

Vélotour : la traversée de la BABG

La première édition bordelaise du Vélotour a ajouté la Banque Alimentaire à son parcours. Le 16 septembre, près de 4200 cyclo-randonneurs, enthousiastes et souvent déguisés, ont traversé nos entrepôts, accueillis par nos gilets orange. Eau fraîche et échanges au rendez-vous.

Lutter contre le gaspillage alimentaire pour aider l’homme à se restaurer !

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Voilà le cœur et la raison d’être des gilets orange des banques alimentaires, à Bordeaux, en Gironde, comme partout ailleurs où sont implantées les 79 banques, dans leur territoire. Cette rencontre quotidienne de la compétence et du cœur, elle est alimentée par nos valeurs telles que le don, le partage, la gratuité et la générosité.

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 C’est bien sur ces valeurs que la Banque Alimentaire de Bordeaux et de la Gironde, en 2018, comme depuis sa création, en 1986, est investie.

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La chute de la « ramasse quotidienne » !

Avec plus de 2000 tonnes, cette collecte assurée auprès de près de 50 grandes et moyennes surfaces de l’agglomération bordelaise constitue la première source d’approvisionnement de la Banque Alimentaire. Effets de la loi Garrot, gestion optimisée, modèle de distribution en évolution, autant d’interrogations qui participent pour partie au tassement observé depuis plusieurs années.   Ainsi, sur ces 3 dernières années, la chute constatée est de l’ordre de 400 tonnes.

Le F.E.A.D. (Fonds européen d’aide aux démunis) : de légitimes inquiétudes

En 2018, pour la Banque Alimentaire de Bordeaux et de la Gironde, la dotation européenne, de l’ordre de 880 000€, a permis de mobiliser environ 1 400 tonnes de ressources alimentaires, soit près de 30% des ressources entrant dans la Banque Alimentaire.

La fin de l’actuel programme, fin 2020, suscite de profondes inquiétudes exprimées par tous les acteurs de la solidarité, notamment en matière alimentaire. Le débat est à la fois européen, en terme budgétaire, mais aussi national et local.

Avec près de 30% de notre approvisionnement, cette perspective de contraction des moyens soulève de légitimes inquiétudes.

L’O.T.R. (organisation territoriale de réseau Nouvelle-Aquitaine) : un enjeu au service de l’efficacité

Depuis de nombreuses années, une coopération entre Banques Alimentaires permet à celles-ci de traiter des dons, portant sur des volumes significatifs, en provenance des industries agroalimentaires.

Depuis 2018, cette organisation s’inscrit dans le cadre de la Région Nouvelle-Aquitaine. Dans ce contexte, la Banque Alimentaire de la Gironde assure, à partir de sa plateforme, une fonction de répartition entre les 13 banques de la Région.

Ainsi, sur l’exercice 2018, 1043 tonnes ont été réparties entre banques alimentaires, dont 327 pour la Banque Alimentaire de Bordeaux et de la Gironde.

La collecte annuelle 2018 : un élan de générosité

Avec 409 tonnes de collecte et dans un contexte compliqué, la collecte annuelle a fait un bond de près de 11% en comparaison de l’année précédente.

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 Celle-ci représente près de 10% de ce qui est distribué aux partenaires de la Banque tout au long de l’année. Générosité des donateurs, témoignant de leur inquiétude devant la montée de la précarité, mais aussi de leur mobilisation.

Aide aux plus démunis La distribution des denrées : avec le concours de 135 partenaires réguliers

L’Observatoire girondin de la précarité et de la pauvreté, corroboré par diverses autres publications, l’étude annuelle du Secours Catholique notamment, confirme l’aggravation des situations de grande précarité sous toutes leurs formes, notamment celle du logement ou de l’alimentation.

A cet égard, la Gironde, hélas, ne fait pas exception, tant au niveau de sa Métropole que de ses zones rurales, tout particulièrement au cœur du croissant de la grande pauvreté qui traverse le département. En Gironde, près de 200 000 personnes vivent sous le seuil de pauvreté, dont 43000 sur la seule Métropole.

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L’étude réalisée par l’institut CSA en 2018 confirme l’évolution des profils des bénéficiaires.

  • 84% ont un logement stable
  • Le profil d’emploi reste précaire ou à temps partiel, avec un tiers des bénéficiaires au chômage (30%)
  • La majorité sont des personnes isolées et des familles monoparentales 
  • 69% des bénéficiaires sont des femmes et 33% des familles monoparentales
  • 27% sont divorcés ou séparés
  • 71% vivent avec moins de 1000€ net par mois et par foyer

C’est bien dans ce contexte que s’organise la chaîne de solidarité alimentaire sur le département, chaine qui mobilise bien des acteurs, au premier rang desquels la banque alimentaire de Bordeaux et de la Gironde.

La Banque Alimentaire joue ainsi un rôle de « tête de réseau » de 135 partenaires publics ou associatifs maillant l’ensemble du territoire, dont 23 épiceries sociales.

La Banque Alimentaire assure aussi des échanges ou aides avec des acteurs tels que les Restas du cœur, la Croix Rouge…

Hygiène et sécurité alimentaire, formation des partenaires : Le respect des bonnes pratiques I

L’ensemble des denrées remises aux partenaires tout au long de l’année obéit à un strict respect des règles en matière de sécurité alimentaire, suivi par un responsable en la matière.

Il assure également le suivi des éventuelles alertes sanitaires diffusées par les autorités compétentes.

Par ailleurs, la Banque Alimentaire assure une formation (T.A.S.A : Tous acteurs de la sécurité alimentaire) auprès de ses bénévoles et salariés mais aussi auprès des acteurs de chacun de ses partenaires.

«Faire le lien » : la mission des chargés d’animation du réseau (C.A.R.)

Une douzaine de bénévoles assurent cette mission au sein de la Banque Alimentaire.

Autour de la volonté de faire lien, leur rôle vise notamment à mieux appréhender les besoins et attentes des associations en matière d’aide alimentaire, à apporter un soutien sur le respect des règles d’hygiène, à accompagner les projets en matière d’insertion.

Par leur intermédiaire, les besoins en formation sont également remontés auprès de la Banque Alimentaire.

La distribution d’été : 188 tonnes distribuées auprès de plus de 6000 bénéficiaires Pendant 7 semaines et sur 4 sites différents de la Métropole

  • Bègles
  • Bordeaux (2 jours / semaine)
  • Lormont
  • Pessac

En 2018, nous avons distribué 188 tonnes de nourriture à plus de 6 000 bénéficiaires. Par journée de distribution, en moyenne,  plus de 6 tonnes sont distribuées pour environ 600 bénéficiaires, soit environ 10 kg par bénéficiaire.

L’épicerie itinérante

Ce nouvel outil a permis, en 2018, d’appréhender 2 situations « sensibles » sur le territoire girondin :

  • A Sainte Foy la Grande avec 25 rotations entre juillet et septembre : Pour pallier la fermeture momentanée de l’épicerie sociale locale
  • Sur le Campus universitaire à compter d’octobre 2018 sur 2 sites distincts : En réponse à la grande précarité alimentaire de nombreux étudiants.

Missions sociales & intégration  

La Banque Alimentaire, un lieu d’inclusion sociale pour retrouver sa dignité et le respect de soi

C’est par des actions concrètes et citoyennes que la Banque Alimentaire traduit ses objectifs et ses actions d’inclusion sociale au service de tous.

Redonner à chacun sa dignité et son « utilité » sont les marqueurs les plus puissants d’une dynamique sociétale volontariste et reconnue de la Banque Alimentaire.

C’est un objectif majeur, qui traduit ainsi sa volonté de « faire société » et de « vivre ensemble »

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 Le Service Civique

Traduction citoyenne de l’inclusion sociale. La Banque Alimentaire a permis à 20 personnes de contribuer par leur engagement à des tâches qui représentent une séquence essentielle de leur vie, pour mieux appréhender et maîtriser leur devenir.

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 SERVICE CIVIQUE Une mission pour chacun au service de tous

La BABG est agréée tous les ans depuis 2012 par les services préfectoraux départementaux pour accueillir des volontaires « Service civique ».

L’agrément en cours porte sur 8 volontaires engagés, sur des durées de 6 à 8 mois, au sein de notre organisation. Parfaitement intégrés à la vie de l’association, ils sont associés aux réunions collectives (réunions salariés et bénévoles).

Durant leur mission, ils bénéficient de formations qualifiantes: CACES (Certificat d’Aptitude à la Conduite En Sécurité) 1, 3, 5 et TASA (Tous Acteurs de la Sécurité Alimentaire), et peuvent être accompagnés ou aidés dans la formalisation d’un éventuel projet professionnel.

Ces volontaires, à l’issue de leur mission, ont pu bénéficier d’une expérience certaine de l’humanitaire, de la réalité du monde du travail, et de compétences professionnelles, ce qui, sur les deux dernières années, a permis aux trois quarts d’entre eux de trouver un emploi rapidement après avoir quitté la BABG.

Des actions concrètes et innovantes

De nombreuses actions ont pour socle l’hygiène de vie et l’alimentation avec pour thématique centrale Alimentation et sécurité et pour dynamique Manger, bouger, c’est la santé.

Elles permettent, au-delà de leurs objectifs propres d’éducation, de cultiver par leur convivialité un partage et un métissage de cultures et de pratiques entre les participants.

Les cuisines solidaire et mobile

Ce sont près de 340 ateliers qui se sont déroulés impliquant plus de 31 associations partenaires, représentant plus de 1438 participants, dont 355 personnes nouvelles (75% de femmes, 25% d’hommes ; 80% de nationalité française et 20% de 51 nationalités différentes).

La « cuisine solidaire » en est un élément moteur.

C’est un moment de convivialité et d’échanges majeur. L’objectif futur, décidé après une réflexion partagée au cours du second trimestre, est de s’adresser à un public plus large et pour cela de faire évoluer la mission grâce à une formation destinée à « former des formateurs ». Pour au final sensibiliser les bénéficiaires à « l’alimentation ».

Les ateliers de cuisine mobile

Le but de ces « ateliers de cuisine mobile » est de déplacer la démarche et d’aller au-devant des besoins et des personnes concernées, afin d’irriguer les bonnes pratiques. 158 ateliers se sont déroulés lors de manifestations ou à l’initiative d’associations, intéressant près de 800 personnes « en » et hors métropole.

L’accueil de stagiaires : 1993 journées-stagiaires en 2018

L’accueil est une des valeurs dont notre Banque Alimentaire estfière. En 2018, cet accueil a représenté 1993 journées-stagiaires. Collèges, lycées d’enseignement général ou professionnels, université, structure d’insertions les plus diverses… autant de publics dont le passage à la BABG participe au métissage des plus ouverts des acteurs quotidiens de la Banque Alimentaire.

Cet accueil joue aussi un rôle important dans la sensibilisation des plus jeunes aux enjeux de la lutte -contre le gaspillage alimentaire mais aussi à l’attention aux plus démunis.

Permis de cariste

Par la possibilité de passer un permis de cariste, compétence qualifiante et valorisante, 20 personnes (6 Service Civique, 13 bénévoles et 1 salarié) ont pu accéder à ce statut et potentialiser ainsi une reconversion concrète. Tout en contribuant activement au fonctionnement de la Banque Alimentaire.

Ressources humaines et Gouvernance

La Banque Alimentaire de Bordeaux et de la Gironde s’inscrit dans le cadre des exigences de Gouvernance de la Fédération Française des Banques Alimentaires en réunissant

  • Son Assemblée Générale annuellement
  • Son Conseil d’Administration au moins trois fois par an
  • Son Bureau 6 fois par an

Les comptes rendus de ces réunions sont diffusés aux membres et les actions décidées sont suivies lors des réunions ultérieures.

Le Conseil d’Administration de la Banque Alimentaire de Bordeaux et de la Gironde comporte 20 membres dont 8 issus d’associations partenaires, (chiffres au 31 décembre 2018)

Collège des bénévoles

Président Pierre POUGET* Vice- Président approvisionnements

Jean-Marie DORY* Vice- Président relations associations

Philippe TRAISSAC* Trésorier

Jean-Jacques COHEN* Secrétaire Général

Benoît MATHIEU* Ressources Humaines

Claude MALPELAT* Communication

Pierrette CASTAGNE* Collecte et distribution d’été

Bruno BERNAT* Filière vin

Charles BROSSIER* Logistique

Jean-Jacques MAHÉ* Fonds de dotation MESA

Gerald PHELIP* Hygiène et Sécurité alimentaire

Pierre VEIT*  

Collège des associations

Saint-Vincent, Bazas Chantai BAILLÉ

Croix Rouge et Réfèrent bénévoles Pierre BARBE

Saint-Vincent-de-Paul Joël BEGUERET

Le pain de l’amitié Yves DUCLOS

La Bous’ol Jean-Pierre DUMORA

Saint-Vincent, Bordeaux Martine FIALOND

iaconat Philippe RIX

Foyer Fraternel Pascal LEFEVRE

Membres invités

  • Directeur de la Banque Alimentaire Philippe IDIARTEGARAY
  • Les précédents Présidents de la Banque Alimentaire

Tous gilets orange

La Banque Alimentaire fonctionne grâce aux 200 bénévoles, 16 salariés, 5 mécénats de compétence et 8 Service Civique sur une année pleine qui constituent sa force humaine, dont la diversité et la complémentarité font sa richesse.

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 Complémentarité des missions et des équipes

Les opérations logistiques, de la ramasse à la distribution sont organisées et animées sous la direction de Philippe IDIARTEGARAY, directeur de la BABG, grâce notamment à l’équipe des salariés appuyée par les Service Civique.

Au quotidien, plus de 40 bénévoles de tous horizons (retraités, demandeurs d’emploi, actifs, personnes en insertion, migrants…) et des mécénats de compétence viennent, chacun selon ses talents, renforcer cette structure opérationnelle.

Chaque bénévole membre du Bureau est référent d’un domaine particulier; Leurs expertises viennent soutenir les activités de la BABG dans tous les domaines transverses requis pour son bon fonctionnement.

C’est le cas, par exemple, pour les finances, les ressources humaines ou l’accueil des bénévoles. Le bénévole Réfèrent peut aussi animer en groupe de travail (ou commission) les salariés et bénévoles impliqués dans un domaine spécifique.

Ainsi sont gérées les activités telles que la collecte, la distribution d’été, les approvisionnements, les relations avec les associations partenaires, l’hygiène et la sécurité alimentaire, la sécurité au sein de l’entrepôt, le fonds de dotation, les relations avec la filière viticole…

Cette complémentarité et transversalité humaine est un élément clé de notre fonctionnement et nous permet d’assurer la continuité et la fiabilité de nos missions auprès de nos associations partenaires.

Mécénat et Compétences

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BNP-PARIBAS, la Fondation ORANGE ou LA POSTE mettent à disposition de la BABG sur un, deux ou trois ans, à titre gracieux, un ou plusieurs salariés, en fin de carrière, dans le cadre d’une mise à disposition de main d’œuvre, pour la réalisation d’une prestation de service ou d’une mission. Les personnes concernées sont toutes volontaires.

Cela nous permet de satisfaire des missions pour lesquelles nous avons besoin d’une expertise, d’une compétence que l’on ne peut financer dans le cadre d’un recrutement salarié faute de moyens financiers. Souvent les personnes en « mécénat de compétence », à leur départ effectif en retraite, restent engagées en tant que bénévoles au sein de la Banque Alimentaire.

L’activité et les résultats financiers 2018 :Un résultat équilibré

En 2018 le compte d’exploitation de la Banque Alimentaire de Bordeaux et de la Gironde est équilibré. Avec des dépenses de 1 586 201€ et des recettes de 1 551 546€, notre résultat opérationnel est très légèrement négatif de -4655€.

Nos charges comprennent :

  • Nos frais de fonctionnement pour 49% (frais de transport et de stockage, entretien des matériels de manutention et camions frigorifiques, carburant, élimination des déchets, assurances, loyers, impôts…),
  •  Nos frais de personnel pour 36%. Ce poste est stable d’une année sur l’autre et représente le principal poste de charges.
  • Enfin, les amortissements comptent pour 15%.

 Les investissements

Annuellement, nous investissons entre 150 et 200 000€, soit pour remplacer les matériels et véhicules nécessaires au fonctionnement en toute sécurité de notre entrepôt, soit pour améliorer l’efficacité de nos missions.

À titre d’illustration, cette année, nous allons renouveler entièrement notre parc informatique pour renforcer la fiabilité et la sécurité informatique de nos opérations et mettre à jour nos logiciels d’exploitation.

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Le compte d’emploi des ressources 2018

AVEC 10€ REÇUS, NOUS DISTRIBUONS PLUS DE 100€ DE DENRÉES ALIMENTAIRES

Les Banques Alimentaires se sont construites autour de valeurs fortes : solidarité, partage, lutte contre le gaspillage alimentaire et gratuité. Cette dernière valeur est constitutive de l’identité de notre Banque Alimentaire et s’appuie sur deux axes :

  • Ne pas acheter de denrées mais mettre à disposition de nos 135 associations, CCAS et CIAS partenaires, plus de 4200 tonnes issues de la lutte contre le gaspillage, de dons en nature d’industriels, de dons en nature financés par l’Union Européenne et l’État et de dons alimentaires des particuliers lors des collectes.
  • Assurer avec plus de 90% de bénévoles le fonctionnement de toute la chaîne logistique et le soutien de nos associations partenaires.

En 2018 ces ressources représentaient un total de 17 486 232 € réparties comme suit :

  • La valorisation des 4200 tonnes distribuées selon une mercuriale (relevé de prix) fournie par la société Nielsen pour plus de 80%,
  • Le temps passé par nos 200 bénévoles, valorisé sur la base du SMIC augmenté des charges sociales, un multiple du SMIC étant utilisé pour l’encadrement bénévole, pour plus de 10%,
  • Les ressources financières directes pour moins de 10%.

L’emploi de ces ressources permet d’assurer nos missions sociales (distribution alimentaire auprès de nos 135 associations, CCAS et CIAS partenaires, actions de. formation notamment hygiène alimentaire et CACES, actions d’accompagnement alimentaire avec nos ateliers cuisine et action d’insertion).

Ces missions sociales représentent plus de 90% de l’emploi de nos ressources. Nos frais de fonctionnement représentent moins de 10% du total des ressources.

Par une gestion rigoureuse, nous restons vigilants à limiter ces frais au minimum nécessaire.

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Quelques infos sur les activités de GMA

Remerciements aux adhérents qui ont participé aux :

  • Avec une quarantaine d’adhérents pour GUJAN-MESTRAS en FETES, je pense que nous sommes l’association la plus représentée,
  • Courses du Cross du Sud-Ouest.

Les manifestations auxquelles nous participerons :

  • Dimanche 15 décembre 2019 : Le Village de Noël,
  • Samedi 22 février 2019 : Le Carnaval de GUJAN-MESTRAS sur le thème les couleurs de l’arc en ciel.

Nos prochaines réunions :

    13 Décembre 2019 : Soirée Festive, probablement Karaoké

    31 Janvier 2020 : Révision du Code de la Route avec la Police municipale de Gujan-Mestras

    28 Février 2020 : Nadia SENECHAL

    27 Mars 2020 : Visite de la Criée d’Arcachon et Intervention du Président de la Criée Yves HERSZFELD

    24 Avril 2020 : Joël CONFOULAN Président du Conservatoire Patrimonial du Bassin d’Arcachon et du Pays de Buch

  22 ou 29 Mai 2020 : ?

  26 Juin 2020 : ?

D’autres sujets acceptés mais pas encore programmés :

    Maison de la LPO à Audenge

    Les Voiles d’Antan

    Véronique COHU, journaliste et écrivain que nous racontera son histoire

Les sujets sont arrêtes mais les dates et l’ordre des présentations ne sont pas tout à fait figés.

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Réunion du 29 Novembre 2019 dans Les Rendez-vous Mensuels
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Réunion du Vendredi 25 Octobre 2019

Posté : 2 décembre, 2019 @ 5:16 dans Les Rendez-vous Mensuels | Pas de commentaires »

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Pour cette réunion, 90 adhérents de GUJAN-MESTRAS ACCUEILLE ce sont retrouvés à la Maison des Associations, pour écouter Anne-Sophie DOAT, nous parler d’Océanic Thérapy :

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Anne-Sophie DOAT est hydrothérapeute. Mathieu, son mari, est ostéopathe.

Tous les deux partagent la même passion pour le soin, la mer et le bassin d’Arcachon. Ensemble, ils ont lancé Oceanic Therapy.

Un concept mariant bienfaits marins, hydrothérapie et ostéopathie, à Gujan-Mestras, dans une cabane ostréicole.

L’idée de départ étant d’associer les deux pratiques pour de meilleurs résultats. En effet, le travail ostéo peut être plus profond sur un corps détoxifié et regonflé en oligo-éléments.

Une thérapie par l’océan qui repose sur quelques grands principes que va nous expliquer maintenant Anne Sophie :

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Les Bains du Bassin
L’Exposé d’Anne Sophie DOAT
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OceanicTherapy c’est quoi ?
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  • les bienfaits des boues du Bassin sont connus depuis les années 1884 par les Gujannais,
  • la plus petite thalasso de France crée par le Docteur Monnier en 1956 ayant prouvée ses résultats au travers de diverses problématiques.
Et puis est née le concept OceanicTherapy
  • Un travail en collaboration depuis 2012 au sein du centre Vitalitude,
  • Un concept spécifique basé sur une nouvelle approche de la santé en mêlant ostéopathie et hydrothérapie : nettoyer le corps de ses déchets tout en douceur et l’enrichir en minéraux et oligos,
  • Un centre qui a ouvert ses portes en juillet 2016 et qui dispose de 3 cabines de soins individuelles, proposant des soins personnalisés et un accompagnement,
  • Un travail plus spécifiquement thérapeutique avec les argiles utilisées dans des centres de rhumatologies depuis plusieurs mois.
Comment se passe un soin à Oceanic ?
  • Le questionnaire de renseignements,
  • Soin local ou global / sec ou humide,
  • Le déroulé du soin,
  • La tisane pour stimuler les fonctions rénales après le soin,
  • Le temps de repos,
  • Sous forme de soin ponctuel ou sous forme de cure de 21 jours.

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Quels soins ? Avec quel produit ?
Un travail profond avec les argiles thérapeutiques utilisées en centres de rhumatologies Français
Des soins humides spécifiques par rapport à la problématique :
  • Sous forme de bain pour un travail global de relâchement,
  • Sous forme d’enveloppement de boue pour un travail de détoxification et de reminéralisation globale,
  • Sous forme d’applications localisées de boue pour cibler une inflammation.

Des soins secs :

  • Des massages ciblés à l’huile de sésame ou de coco?
  • Des soins ponctuels pour parfaire l’action de la boue….
Les bienfaits
  • Pouvoir d’absorption le plus fort de toutes les argiles (échanges toxines-minéraux),
  • Apaise les douleurs,
  • Antiseptique, antibactérienne et cicatrisante,
  • Action protectrice de toutes nos cellules pour éviter les décalcifications,
  • Meilleure pénétration des principes actifs : magnésium, silice notamment reconnus pour favoriser la régénération des tissus,
  • Recharge le corps en vitamines permettant de retrouver sa vitalité,
  • Pouvoir détoxifiant et drainant,
  • Relâchement des tensions musculaires, nerveuses et articulaires,
  • traitement des rhumatismes,
  • remise en forme de l’état général,
  • stress, anxiété de la vie quotidienne,
  • le sommeil,
  • la reminéralisation.

Une prise en charge globale alliant la santé et

le sport

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Dans le complément « Mag » du Journal Sud-Ouest  d’octobre 2019, il y avait in article d’Anne Sophie intitulé :

Une cure pour prendre soin de son ventre, le ventre, ce deuxième cerveau :

Texte d’Émilie DUBRUL

Une zone qui ferait souffrir une personne sur cinq, ce qui explique peut-être le succès du livre de Giulia Enders (1). Pour les Japonais, la plupart de nos maux auraient pour origine la perte de contact avec notre « hara », c’est-à-dire notre ventre. Stress, ballonnements, problèmes digestifs sont votre lot quotidien ? Outre la pratique d’un sport antistress comme le yoga, le running ou la méthode Pilâtes, les soins hydro thérapeutiques peuvent vous rendre la vie plus douce, grâce à des soins à base d’eau de mer ou d’algues.

Des boues marines naturelles et vivantes

Après avoir rempli une fiche informative pour connaître vos douleurs (maux de tête, problèmes de transit, traumatisme…) et personnaliser la séance, c’est dans une ambiance intimiste et chaleureuse qu’Anne-Sophie Ragon, hydrothérapeute de formation, propose des soins de balnéothérapie et d’hydrothérapie réalisés à base de boues.

« La particularité de ces boues tient en une importante teneur en calcium, en soufre et en silice, ce qui permet d’obtenir de bons résultats en matière de reminéralisassions et de détox », explique la thérapeute.

« En général, je commence toujours par la détox du foie. Avec les reins, c’est l’un de nos deux filtres. S’il n’est pas bien drainé, ça crée des inflammations dans le corps. »

Le corps enveloppé dans un film pour accélérer la sudation, en application locale ou par enveloppement complet, la boue chaude va permettre d’assouplir les tissus, d’améliorer la circulation sanguine et de favoriser l’absorption des éléments actifs qu’elle contient. « Je fais toujours le lien entre le psycho-émotionnel et la douleur physique, souligne la thérapeute.

L’estomac noué chez les gens stressés, par exemple, ou le foie, siège des colères rentrées. Les reins, c’est les grandes peurs, les problèmes de constipation liés aux intestins lorsqu’on retient ses émotions. »

À ses côtés, « Le Grand Dictionnaire des malaises et des maladies », de Jacques Martel. « Ma bible. »

À la fin de la séance, pour stimuler les fonctions rénales et éliminer les toxines, Anne-Sophie vous offre une tisane aux plantes aux vertus très détox.

Pour un résultat optimal, prévoir des cures de trois à cinq enveloppements par semaine sur vingt et un jours. 2£

« Le Charme discret de l’intestin », Giulia Endeis, éditions Actes Sud

À partir de 21 euros le soin.

 

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Pour nous retrouver :

Centre Oceanic Therapy : 198 quater boulevard Pierre Dignac

33470 GUJAN-MESTRAS

Mr et Mme DOAT Mathieu et Anne-Sophie

Tel : 06.64.95.57.31

Site : www.oceanic-therapy.fr

Mail : contact@oceanic-therapy.fr

Facebook : oceanic therapy

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Les INFOS

Manifestations auxquelles nous participerons :

Dimanche 15 décembre 2019 : Le Village de Noël

Samedi 22 février 2019 : Le Carnaval de GUJAN-MESTRAS

 

Thèmes de nos réunions mensuelles :

  •     27 Septembre 2019 : Assemblée Générale Ordinaire avec renouvellement du Bureau
  •     25 Octobre 2019 : Océanic Thérapy
  •     9 Novembre 2019 : La Banque Alimentaire
  •     13 Décembre 2019 : Soirée Festive
  •     31 Janvier 2020 : Révision du code de la Route avec la Police Municipale de Gujan-Mestras
  •     28 Février 2020 : Nadia SENECHAL
  •     27 Mars 2020 : Visite de la Criée d’Arcachon et Intervention du Président de la Criée Yves HERSZFELD
  •     24 Avril 2020 : Joël CONFOULAN Président du Conservatoire Patrimonial du Bassin d’Arcachon et du Pays de Buch
  •   22 ou 29 Mai 2020 :
  •   26 Juin 2020 :

En liste d’attente : 10 personnes

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Réunion du Vendredi 25 Octobre 2019 dans Les Rendez-vous Mensuels
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