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Archive pour novembre, 2017

Réunion mensuelle du vendredi 24 novembre 2017

Posté : 26 novembre, 2017 @ 4:15 dans Les Rendez-vous Mensuels | Pas de commentaires »

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Vendredi 24 novembre à partir de 9h15 à la Maison des Associations, épluchage des légumes et préparation du repas du soir :

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sous la surveillance de Maurice

et préparation de la salle

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A partir de 19h00, 100 personnes ce sont retrouvées pour écouter Alain HOUILLON nous parler de son métier :

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Présentation d’Alain HOUILLON :

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Alain HOUILLON est Périgourdin avec un parcours peu commun et aussi un personnage attachant qui aime la nature.

Arboriste-grimpeur autodidacte, il est le médecin des arbres, allant au chevet des cèdres malades et des pins souffrants ou des chênes blessés.

Il est passionné par les arbres qu’il considère comme des amis indispensables à la survie des humains.

C’est pour cette raison, qu’un arbre en souffrance requiert toute son attention et ses soins.

Il sillonne ainsi toute la région et intervient dans de grandes propriétés et des domaines viticoles.

Grimpé à la cime des arbres, il les ausculte, diagnostique leurs faiblesses et applique des remèdes naturels dont lui seul a le secret.

C’est de sa rencontre avec Matthieu Cabaussel au cœur de la forêt Usagère de LA TESTE, qu’est née « La Pignafeu », dont il vous parlera au cours de son exposé.

La PIGNAFEU, un allume-feu qui fait lien entre leur passion pour la nature, pour le territoire, et bien sûr pour les moments partagés autour d’une belle flambée.

 

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L’EXPOSE D’ALAIN HOUILLON

commence par LA PIGNAFEU

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L’allume-feu naturel du Bassin

d’Arcachon

Une histoire de passionnés : 

Dans la société actuelle « hyperconnectée », allumer un feu demeure une pratique ancestrale synonyme d’apaisement, de réconfort et de contemplation. Prendre le temps de se ressourcer autour d’une cheminée pour se réchauffer, pour faire la cuisine ou simplement pour le plaisir fait partie de la vie des Hommes depuis les fondements de l’humanité.

Nous avons donc décidé de nous lancer dans un projet original. Un projet qui fasse le lien entre notre passion pour la nature, pour notre territoire et bien sûr pour les moments d’exception partagés autour d’une belle flambée ! 

La Pignafeu, cet allume-feu né à La Teste en 2013, au cœur de la forêt des Landes de Gascogne, c’est avant tout l’histoire d’une rencontre.

Ces deux là ne jurent que par les flammes et le barbecue, le vrai. Ne leur parlez même pas de plancha… Sur le bassin d’Arcachon, deux amoureux des pins et de la forêt ont inventé un allume-feu naturel à base de pignes de pin.

La Pignafeu est pour nous l’occasion de parler du Bassin d’Arcachon, et bien entendu de vous inviter à faire une pause dans notre vie trépidante, pour prendre le temps de nous retrouver, entre amis ou en famille, autour de la chaleur d’un feu.

Et depuis plus de trois ans, lui et Alain Houillon mènent, durant leur temps libre, un projet au nom plutôt insolite, la Pignafeu, un allume-feu produit sur le Bassin et commercialisé en Gironde. « Le patrimoine forestier du Bassin n’est pas valorisé à la hauteur des traditions maritimes », regrette Matthieu Cabaussel. « Ce produit, c’est un projet qui fait lien entre notre passion pour la nature, pour notre territoire, et bien sûr pour les moments partagés autour d’une belle flambée ! »

Terminé le papier journal et les produits chimiques.

  • Que du vrai : des pignes et de la résine de pin comme seuls composants
  • Un produit local : conçu et fabriqué sur le Bassin d’Arcachon
  • Un produit artisanal : récolté, transformé et conditionné à la main
  • Un produit patrimonial : de la résine issue de pins gemmés à l ‘ancienne

point commun

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Si Alain Houillon et Matthieu Cabaussel en sont les deux chevilles ouvrières, ils s’appuient sur d’incroyables ouvriers : les écureuils.

Deux artisans à la manoeuvre !

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 L’écureuil roux est un petit rongeur arboricole qui habite la forêt landaise. Reconnaissable à sa longue queue en panache et son ventre blanc, il affectionne les milieux boisés riches en biodiversité.

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Car la pigne – le nom régional de la pomme de pin ou du cône – est leur principale matière première. « Nous les ramassons dans les forêts de La Teste une fois qu’elles ont été grignotées par les écureuils. Ces rongeurs apprécient tout particulièrement les pignons de pin maritime. Pour accéder à leurs précieuses récompenses, ils doivent débarrasser la pigne de ses écailles. Ils jettent alors le trognon que nous nous empressons de collecter ! »

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Un travail d’orfèvre, une œuvre d’art même, qui connaît désormais une seconde vie.

Marmite, churros et colophane…

Avec ces restes de repas, récoltés dans de larges paniers,

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Nos deux hommes passent ensuite à l’étape du glaçage. Pour ce faire, Matthieu Cabaussel rassemble la résine récoltée sur la petite centaine de pins qu’il gemme.

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Matthieu Cabaussel gemme lui-même ses pins depuis l’adolescence

Elle est ensuite plongée dans une grande marmite et chauffée pour atteindre 150 degrés.

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À la manière des churros, les pignes sont ainsi « glacées » immédiatement. Cet enrobage, composé naturellement de colophane et d’essence de térébenthine, a la particularité de s’enflammer rapidement avant de passer le relais au tronc de la pigne.

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« Nous n’avons finalement rien inventé puisque, à l’époque où la forêt était « gemmée », les résiniers conservaient les galips, c’est-à-dire les copeaux de bois, pour s’en servir d’allume-feu naturel », rappellent les deux hommes. Remise au goût du jour et commercialisée dans des bourriches d’huîtres, Pignafeu, version 2016, commence à connaître un certain succès auprès des épicuriens du Bassin et des amoureux des grillades.

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Stockage :

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Partenaires:

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Sur le Bassin d’Arcachon et sa région

E.Leclerc Mios

1 rue jean Marie Pelt

33380 Mios

Relais des Abatilles

112 Boulevard de la Côte d’Argent

33120 Arcachon

La Teste vins

7 Avenue du Général Leclerc

33260 La Teste de Buch

I love BA

Place du marché

33260 La Teste de Buch

Offices de tourisme

La Teste de Buch, Audenge, Biganos, Marcheprime, Mios

Unikalo

241 Avenue Gustave Eiffel

33260 La Teste de Buch

Briconautes

Route de Parentis

40600 Biscarrosse

Epicerie Etc Etc

24 Avenue du général de Gaulle

33510 Andernos

Ailleurs dans le monde…​

Droguerie Bejottes

11 rue Condillac

33000 Bordeaux

Comptoir Energies

Centre commercial Les Terres Douces

Avenue du Périgord

33370 Salleboeuf

Maison Lacoste Librairie Papeterie

65 Rue Augustin Lesbazeilles

40000 Mont-de-Marsan

Saintonge Pratique

 33 Allée de Rochefollet 

17100 Bussac sur Charente

Hossegor Surfing Academy

284 avenue des Charpentiers

40150 Soorts-Hossegor

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LE GEMMAGE

  

Le gemmage hier :

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 Cliquez sur le lien ci-dessous pour regarder une vidéo sur le gemmage :

https://youtu.be/YrhWtMc4DGM

Le gemmage aujourd’hui : 

de Matthieu Cabaussel.

Le gemmage fait un retour discret au cœur de la forêt usagère

Disparu à petit feu durant la seconde moitié du 20e siècle, le gemmage fait un retour discret et encadré en forêt usagère.

Depuis cet été, 200 pins sont gemmés et donnent résine, sur une parcelle à proximité de la route des campings pylatais.

Plusieurs entreprises ont réinvesti quelques parcelles pour gemmer- en oubliant le traditionnel pot de résine et le hapchot »,  au moyen d’un nouveau procédé, dit en vase clos.

Des essais et des développements sont, par exemple, menés dans des forêts de Biscarrosse, du Val de l’Eyre, du Porge…

Et depuis le début de l’été, c’est sur une parcelle de la forêt usagère que la résine coule à nouveau, à proximité de la route menant aux plages océanes.

Sur ces quelques hectares, propriétés de la Société Civile du Patrimoine des Usagers, notamment administrée par quelques responsables de l’Addufu dont Jean-Claude Dupoy, Christian Gousset et Matthieu Cabaussel. Environ 200 pins sont actuellement gemmés.

Et pour récolter la résine, ces derniers ont fait appel à la société Hollste et son programme Biogemme, l’une des entreprises à l’origine de la relance du gemmage en Aquitaine.

Nous effectuons une pique » circulaire avec une perceuse équipée d’une fraise ». explique Luc Leneveu, le responsable du projet Biogemme », face à l’un des pins en expérimentation.

« Puis nous appliquons un activant obtenu à base d’acides végétaux. La résine coule via un entonnoir et une poche semi-hermétique. Cela permet d’obtenir un produit non souillé et d’une grande qualité ».

La gemme récoltée est l’ingrédient de base de l’huile essentielle utilisée dans le Bol d’air, produit commercialisé par l’entreprise Holiste.

Un gemmage encadré, borné, contraint.

Mais le massif usager de La Teste se distingue du reste de l’immense forêt de production.

Son statut unique, ses traditions séculaires et son relief escarpé en font un site très particulier…

Un site où le gemmage doit être encadré, borné, contraint.

C’est pour anticiper cette reprise de l’activité et construire des règles communes que des usagers, des élus – dont le maire Jean-Jacques Eroles – et des partenaires de ce projet se sont retrouvés II y a quelques jours, salle Maugis, puis en forêt pour présenter cette nouvelle expérimentation.

Parmi eux, Luc Leneveu bien sûr, l’entreprise Hoiiste et quelques administrateurs de l’Addufu dont Jean-Claude Dupoy, Christian Gousset et Matthieu Cabaussel.

D’ici l’été 2017, leur objectif commun est de publier un guide de bonnes pratique du gemmage en forêt usagère. Et ce petit groupe de réflexion va déjà très loin, discutant du nombre de piques, de la durée de la saison de gemmage, de la pérennité du pin mais aussi de l’accessibilité et la diversité du sous-bois: •

Nous privilégierons l’aménagement de menades, c’est-à-dire des sentiers discrets de pin en pin, pour conserver les sous-bois,

À noter que les propriétaires, les usagers, la Dreal, la commune et les associations environnementales seront également impliqués.

L’ADDUFU est partenaire de la SCPU  dans le cadre du gemmage. Des expérimentations sont en cours, dans le strict respect de l’environnement, toute mécanisation, coupe rase de sous bois ou utilisation d’activant issu de l’industrie pétrolière étant proscrits. L’objectif de ce partenariat est de reprendre le gemmage sur une grande partie de la forêt usagère et d’anticiper cette reprise en élaborant un guide de bonne pratique du gemmage adapté aux techniques de récolte moderne et compatible avec les patrimoines naturel et culturel de la forêt usagère.

Un nouveau procédé

Le processus :

 Crédit photos et Texte de Matthieu CABAUSSEL

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Claude CORAU ancien gemmeur porgeais a mis au point il y a dix-huit ans un nouveau procédé qui permet de collecter la résine liquide dans une poche en plastique fixée au pin.

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Le hapchot est remplacé par une perceuse équipée d’une scie cloche et la care par des trous d’environ 30mm de diamètre.

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Suivi d’une application d’un activant obtenu à base d’acides végétaux.

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La résine coule via un entonnoir et une poche semi-hermétique en plastique fixée au pin. Cela permet d’obtenir un produit non souillé et d’une grande qualité.

 Le gemmage en vase clos est une technique mise au point et perfectionnée par Claude Courau. Le principe reste identique aux méthodes ancestrales: blesser le pin pour en récolter la résine, secrétée par l’arbre afin d’assurer sa cicatrisation. Après avoir pratiqué une pique circulaire à l’aide d’une perceuse électroportative, un activant (neutre ou acide) est appliqué à la blessure avant d’apposer un boitier hermétique qui guide la résine dans un réservoir étanche: une poche en plastique ou un pot en verre. Ce procédé préserve la résine des impuretés (insectes, sable, débris végétaux, eau de pluie, …) et limite l’évaporation de l’essence de térébenthine. 

La pique se pratique tous les 15 jours, au bout desquels le gemmeur fera une nouvelle empreinte circulaire au droit de la précédente.

L’innovation réside à la fois dans la qualité de la résine obtenue (le vase clos permet d’isoler la gemme récoltée du milieu extérieur), mais également dans une simplification des tâches du gemmeur, qui permet une diminution substantielle du temps passé sur chaque pin pour récolter la résine (les étapes de pelage de l’écorce pour la préparation de la carre et de barrasquage en fin de saison sont supprimées). Par ailleurs, l’affutage des outils qui représentait dans le cadre du système Hugues une étape longue et délicate, fruit d’un apprentissage assidu de la part des jeunes gemmeurs, est également supprimée.

La filière est en cours de structuration, et plusieurs projets de relance du gemmage ont vu le jour depuis 2012 dans la forêt de Gascogne, utilisant le gemmage en vase clos. La résine est distillée après récolte, ce qui permet d’obtenir de la colophane et de l’essence de térébenthine, produits de première transformation. Au delà des débouchés déjà connus et exploités par le passé (peintures, vernis, colles, huiles, …) l’industrie chimique et pharmaceutique s’intéresse de près aux produits de seconde et troisième transformation qui permettent d’obtenir des molécules de qualité, dont certaines sont spécifiques au pin maritime du massif landais. L’association « Gemme la forêt d’Aquitaine », crée en 2014 a pour but de fédérer les acteurs de la filière pour promouvoir la relance du gemmage en Aquitaine: de la production de la résine à la valorisation des produits obtenus après distillation et transformation.

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 Le gemmage faisait vivre 16 500 familles des Landes de Gascogne en 1952. Son retour tiendra plus de la niche que de la masse.

« Le gemmage a connu son apogée avant la grande crise de 1929, puis un lent déclin, jusqu’à disparaître totalement dans les années 1980  », rapporte Yves Lesgourgues, directeur du Centre régional de la propriété forestière d’Aquitaine, spécialiste de massif aquitain. En 1921, ce massif produisait 151 millions de litres de résine par an, mais seulement 25 millions en 1969, rappelle Raymond Lagardère dans son livre témoignage, « Sous les grands pins ».

En 1952, on comptait encore, précise-t-il, 16 500 familles de résiniers dans les Landes de Gascogne. Elles n’étaient plus que 4 000 en 1970. Ce syndicaliste, notamment à la tête de la Fédération des gemmeurs CGT, a été de tous les combats de la défense du gemmage. Jusqu’au coup de grâce, en 1989. Quelques lignes dans le rapport d’une mission interministérielle qu’il cite : « La mission estime que les pouvoirs publics et industriels concernés devraient poursuivre et développer les programmes de recherche permettant de mettre en valeur, par des voies autres que le gemmage, la richesse potentielle contenue dans la forêt de pins maritimes de l’Aquitaine » !

Raymond Lagardère met clairement en cause l’absence de volonté politique des pouvoirs publics dans le déclin du gemmage. Pour sa part, Yves Lesgourgues estime qu’il est lié à une perte de compétitivité face à la montée de la concurrence internationale, en raison de coûts de main-d’œuvre élevés. Mais lié aussi à une réduction des soutiens, notamment ceux du Fonds d’orientation et de régulation des marchés agricoles. On prête à Raymond Barre d’avoir un jour déclaré, s’agissant du gemmage, qu’il fallait arrêter de parler de techniques qui datent de la lampe à huile !

Retour vers le futur

Mais s’il appartient à un passé qui a laissé des traces indélébiles dans la mémoire régionale, le gemmage n’est peut-être pas tout à fait mort. Le passé se découvre un futur. Il a pour nom Sust- Forest, un projet européen qui vise à en relancer la pratique en Aquitaine, mais également en Espagne et au Portugal, deux pays qui se trouvent dans la même situation que la France . Ils ne produisent plus de résine et sont, de fait, totalement dépendants des importations : Chine, Brésil, Indonésie, Madagascar … avec des prix mondiaux à la hausse. L’industrie’ industrie française en consomme 30 000 tonnes par an.

Reste à valider la faisabilité de la relance. C’est l’objet d’une étude socioéconomique actuellement en cours. Financée dans le cadre des eurorégions (Intereg), elle est confiée à la société de recherche Rescoll, basée à Pessac (33) et spécialisée dans la formulation des poly- mères. Sa restitution est prévue pour le 30 octobre, dans les locaux de Bordeaux Sciences Agro, à Gradignan (33).

Il ne faut toutefois pas s’imaginer un retour du gemmage à grande échelle Nicolas Langlet, directeur du pôle de compétitivité Xylofutur, le situe plutôt dans « une logique de circuit court pour des produits de niche, biosourcés, à forte valeur ajoutée ».

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Après cela, Alain HOUILLON s’est lancé dans un grand dialogue avec les adhérents de GUJAN-MESTRAS ACCUEILLE, pour expliquer sa passion pour les arbres, dont il en a fait son métier.

Et là, nous sommes allés de découvertes en découvertes sur la vie des arbres et la façon de s’en occuper, surtout qu’Alain est intarissables sur ce sujet ……

Il dit même que l’on peut dialoguer avec eux ……

Pour écouter, cliquez sur le lien ci-dessous :

A la fin de son exposé nous l’avons remercié comme il se doit et il a reçu une ovation de la part des adhérents.

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Puis nous avons souhaité les anniversaires des natifs de novembre avant de donner quelques infos sur les activités de notre Association GUJAN-MESTRAS ACCUEILLE.

Mais comme pratiquement personne n’a écouté, donc peu d’intéressés, elle ne sont pas retransmises sur le blog … 

Manque de discipline …. allez savoir. Dommage.

On fera peut être mieux la prochaine fois.

Puis nous avons dégusté un  potage  au potiron et une choucroute

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Prochaine réunion : vendredi 15 décembre à la Maison des Associations où, pour la dernière réunion de 2017, Gérard DUROUX nous parlera de la vie de Jacques BREL.

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