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Archive pour avril, 2015

Réunion mensuelle d’Avril 2015

Posté : 28 avril, 2015 @ 7:34 dans Les Rendez-vous Mensuels | Pas de commentaires »

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Le thème de cette réunion était 

« Les fouilles subaquatiques du lac de Sanguinet » ,

présenté par André TARTAS

 André TARTAS

Président du  Centre de recherches et d’études scientifiques de Sanguinet, le CRESS.

C’est à la Maison des Associations de GUJAN-MESTRAS que 80 de nos adhérents se sont retrouvés, dans une salle magnifiquement décorée par les Commissions   »Restauration » et « Salles et Matériel », ……..

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 …… pour écouter André nous parler des résultats des fouilles subaquatiques du lac de Sanguinet.

 

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L’Exposé d’André TARTAS

La formation et l’extension du lac de Sanguinet sont directement liées à la mise en place des dunes de la côte landaise.

La montée des eaux durant le millénaire qui précède notre ère a obligé les hommes à abandonner leurs habitats successifs.

Leurs vestiges s’échelonnent de l’ouest vers l’est, les plus profonds étant les plus anciens.

Avec la mise au jour de nombreuses pirogues dont la chronologie va de l’Âge du Bronze aux temps modernes, l’étude des sites de Sanguinet revêt donc un intérêt exceptionnel dans la connaissance de l’histoire préromaine de l’Aquitaine.

Les archéologues qui, depuis plus de quarante ans, poursuivent leurs investigations sous les eaux du lac, se sont en particulier intéressés au site de « l’Estey du large » dont l’occupation correspond au deuxième âge du fer.

La découverte de scories métalliques sur ce site les a conduits à formuler l’hypothèse que cette population de l’Âge du Fer était capable de produire du métal, mais également de forger les outils leur permettant de façonner leurs pirogues.

Dans ces périodes reculées, le lac communiquait directement avec l’océan.

Les essais de navigation à bord d’une pirogue, reproduite à l’identique, permettent de vérifier l’hypothèse selon laquelle ces embarcations offraient la possibilité d’échanges économiques le long de la côte océane durant le millénaire qui précède notre ère.

HISTORIQUE DES FOUILLES

Jusqu’à la dernière décennie les vestiges de la préhistoire et de la protohistoire semblaient absents de la zone littorale qui limite le plateau landais au sud du Bassin d’Arcachon.

Le système dunaire, de formation récente, masquait ce lointain passé, de sorte que les cartes des sites archéologiques jusqu’à des temps très proches faisaient apparaître une pauvreté absolue entre la côte océane et la Leyre.

Seule la vallée de cette rivière témoignait d’une présence humaine du bronze ancien à l’âge du fer. Partout ailleurs des renseignements souvent imprécis faisaient état de découvertes fortuites difficilement exploitables.

La recherche archéologique actuelle, qu’il s’agisse des découvertes récentes au pied de la dune du Pyla ou dans le lac de Gazaux-Sanguinet, modifie profondément cette vision.

Pour reprendre une remarque de M. le Professeur Etienne, il ne faut plus parler de « désert archéologique » mais plutôt du « désert de la recherche archéologique » pour une région qui se révèle en fait particulièrement riche en témoignages de la période protohistorique.

C’est en 1977 qu’un vieux pêcheur de Sanguinet incita l’équipe du C.R.E.S.S. à aller vérifier la nature des fonds à 1,5 kilomètre environ du site gallo-romain de Losa.

On repéra alors, sur la rive gauche du lit antique de la Gourgue, une accumulation de troncs par 7 à 8 mètres de profondeur. Le mobilier de céramique prélevé fors des premières investigations permettait de penser à une présence humaine dans les premiers siècles avant notre ère.

A partir de 1980, une fouille systématique est entreprise. Les résultats obtenus permettent de dresser un premier bilan qui apporte un éclairage nouveau sur ces Aquitains de la zone littorale atlantique que rencontrèrent les Romains lors de la conquête.

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LA ROUTE ANTIQUE DU LITTORAL ATLANTIQUE A TRAVERS LA REGION DES GRANDS LACS LANDAIS

Le souvenir d’une voie antique dans la région littorale aquitaine est resté très profondément ancré dans la mémoire collective. C’est ainsi qu’une carte de la Gaule antique datée de 1642 mentionne les étapes de cette voie. Il s’agit vraisemblablement de la transcription des indications de l’itinéraire d’Antonin.

Il est intéressant de constater que Boïos, Losa et Ségosa dont nous connaissons parfaitement la situation grâce aux découvertes archéologiques récentes sont effectivement placées à une longitude qui correspond sensiblement à leur réalité géographique. Nous remarquons également que, pour ce cartographe du milieu du XVII siècle, la formation des lacs landais était postérieure à la présence romaine puisque le seul plan d’eau signalé est le bassin d’Arcachon.

Extrait d’un article de MAURIN Bernard Précédent Président du CRESS pendant 30 ans.

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Les lacs littoraux sont d’une formation relativement récente.

Le lac de Cazaux-Sanguinet s’inscrit dans la chaîne des lacs du littoral aquitain. De part et d’autre du Bassin d’Arcachon, 4 grands lacs, au Nord Carcans-Hourtin et Lacanau et au Sud Cazaux-Sanguinet et Parentis-Biscarrosse.

Puis l’on trouve plus au Sud, les lacs d’Aureilhan, de Léon et de Soustons. Ils ont aujourd’hui tous une sortie vers l’océan, directe ou indirecte.

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Les Sites Archéologiques du lac de Sanguinet

dont je vais vous parler ce soir

Ce lac est un immense plan d’eau de 5 800 hectares qui s’étend sur trois communes : Biscarrosse, La Teste-de-Buch et Sanguinet. D’une longueur de 11 km, du nord au sud, pour une largeur de 10 km, d’est en ouest, il a une profondeur maximum de 25 mètres

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Sur cette coupe on trouve la position des sites archéologiques sublacustres de Sanguinet. En allant de l’Est vers l’Ouest, nous trouvons :

  1. le site gallo-romain de Losa, à 5m de profondeur
  2. le site de l’Etey du large du 2ème âge du fer (2ème – 1er siècles avant notre ère), à 7m de profondeur puis les sites de la Forêt contemporains de l’âge du fer, à 10m de profondeur
  3. les sites de Put Blanc datés au 1er âge du fer (850 – 450 ans avant Jésus-Christ), à 13m de profondeur
  4. Les Pirogues du Lac de Sanguinet

 Il existe probablement d’autres sites, mais dans l’état actuel de nos recherches, rien ne nous permet de l’affirmer.

1- Les Site de LOSA

C’est le site gallo-romain de Losa qui a été découvert le premier dans les années 1970

Losa était une station routière sur la voie romaine littorale reliant Bordeaux à Dax, qui passait par Boïos, Segosa et Mosconum.Une seconde voie intérieure passait par Salamaco, Tellonum et Coecquosa

Le village de Losa se situait sur la rive gauche de la Gourgue, actuellement sous 5 mètres d’eau.

Une première voie, la plus à l’Ouest traversait la rivière. Les plongeurs ont mis au jour les vestiges d’un long-pont, ouvrage qui permettait de traverser la rivière mais aussi les parties marécageuses près de ses rives. Plus d’une centaine de pieux permettaient une surélévation de la voie afin de la mettre hors d’eau. Cet ouvrage est daté au tout début de notre ère.

Une seconde voie, plus à l’Est a été mise en place lorsque la première voie fut ennoyée par la montée des eaux du lac. Elle est datée fin IIIème  et IVème siècle de notre ère. 

Excepté les pieux du pont, les seuls vestiges bâtis encore visibles sont les fondations d’un petit temple, un fanum.

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Village gallo-romain de Losa – Extrait d’un article de Wikipédia

IerIIIe siècle après J.-C. Pour atteindre le village de Losa, la voie Romaine littorale venant du nord devait franchir la rivière dont la vallée se trouve actuellement à 7 mètres de profondeur. Des pieux de chêne ou de pin implantés dans la partie basse dessinent le tracé de ce « long pont » qui s’aligne parfaitement sur la voie reconnue à terre. Losa occupait un large plateau bien drainé, à l’abri des crues, à deux mètres environ au-dessus du niveau de la rivière. Il s’agissait d’une mansio, c’est-à-dire d’une station routière où le voyageur trouvait le gîte et le couvert. Le village s’articulait autour d’un petit temple dont les fondations dessinent un plan très proche de ceux des nombreux fana que l’on connaît en France et tout particulièrement en Aquitaine. Le mobilier de céramique domestique est abondant (assiettes, coupes tripodes, cruches, gobelets…). À côté de cela, quelques poteries plus « nobles » comme les céramiques sigilées, les gobelets à parois fines ou les amphores, témoignent d’échanges commerciaux dans un espace géographique assez vaste. Mais la masse la plus importante du mobilier archéologique est constituée par des tessons de cuviers et de grandes jarres qui témoignent d’une industrie de production de goudron à partir du bois de pin. Les monnaies très nombreuses trouvées sur le site permettent de définir avec une assez grande précision la période d’occupation de Losa.

Le Fanum de Losa (12 x 10 m) est un site archéologique sublacustre qui se présente sous la forme d’édifice rectangulaire, dont l’entrée s’ouvre sur un vestibule qui donne accès à une galerie de circulation faisant le tour de la pièce centrale du temple, la cella. Les murs épais de 45 cm sont constitués de blocs de minerai de fer ou « Fer
des marais ». Divers éléments archéologiques indiquent une période d’utilisation assez longue, entre le IIe et IIIe siècle après J.-C. L’abandon du fanum pourrait être lié à l’apparition du christianisme au IVe siècle.

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2- Le site de l’ESTEY du LARGE

 Nous quittons le site gallo-romain de Losa pour suivre le cours de la Gourgue vers l’Ouest.

A sept mètres de profondeur, sur un espace légèrement surélevé par rapport à la rivière, les hommes du IIème siècle avant Jésus-Christ, ont érigé une enceinte.

 

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Village fortifié de l’Estey du Large - Extrait d’un article de Wikipédia

(IIIeIer siècle avant J.-C.) Le village de l’Estey du Large est installé sur la rive gauche de la rivière, qui, à cet endroit, n’excède pas 150 m de largeur. La partie haute et plane de cet espace est actuellement, à 7 m de profondeur moyenne. Une pente d’environ 10 % permet d’atteindre le lit de la rivière antique à 11 m de profondeur. Le site de l’Estey du large se présente comme un vaste espace elliptique de plus de 3 000 m². Une centaine de pieux de chêne ou de pin subsistent des deux enceintes qui assuraient la protection du village. Une énorme accumulation de troncs constituait une assise solide pour ces palissades. Le sol d’occupation, riche en tessons de céramique, atteint 20 à 30 cm d’épaisseur. Sur cet espace vaste et dégagé quelques foyers importants mais aussi un très grand nombre de feux secondaires ont été repérés. L’espace intérieur ne comporte aucune trace d’habitat. Cependant, au niveau de l’enceinte on relève les indices les plus significatifs montrant que quelques habitations étaient intégrées à l’ouvrage de défense Le mobilier de céramique typique de la fin de l’âge du fer est extrêmement abondant. Parmi les poteries non tournées, les jattes à anses internes sont spécifiques à la région littorale au sud du bassin d’Arcachon. Ce type de poterie a perduré jusqu’à l’époque gallo-romaine sur le village de Losa. Les objets métalliques mis au jour par les fouilles sont rares, ce qui témoigne de la faiblesse des échanges économiques. Seuls les alliages de cuivre ou d’argent ont résisté à la corrosion des eaux du lac. Une douzaine de fibules et des anneaux ont été inventoriées. Plus de dix années de fouilles n’ont permis la découverte que de deux monnaies datables au Ier siècle avant J.-C. À l’intérieur de l’enceinte, un entassement de blocs d’un minerai de fer très riche, le « fer des marais », a été repéré. De très nombreux fragments de scories de réduction, d’affinage ou de forgeage du fer ont également été relevés. L’Estey du large semble donc avoir été un centre de production de fer. Quelques fragments de la paroi d’argile de bas-fourneaux ont été inventoriés parmi les scories de réduction. C’est à la fin du Ier siècle avant notre ère que les habitants de l’Estey du large doivent abandonner leur territoire atteint par la montée des eaux pour s’installer en amont.

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3- Le Site de PUT BLANC

Plus à l’Ouest encore, sur des fonds de 12 à 13 mètres, nous arrivons sur les sites de Put Blanc. Nous nous trouvons ici sur des sites qui ne sont plus en bordure d’une rivière mais à l’Est du lac en formation.

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Le Village de Put Blanc - Extrait d’un article de Wikipédia

(VIIeIVe siècle avant J.-C.) Le site de Put Blanc couvre une superficie de plus de 3 ha, à une profondeur moyenne de 13 m. Les vestiges d’habitats sont dispersés à la pointe est du lac primitif dans sa phase du 1er âge du fer. Ce qui est assez remarquable, c’est que les hommes aient choisi de s’installer sur de très modestes surélévations de terrain dans les zones de marais proches du lac. Il s’agit vraisemblablement d’un souci de protection par rapport à un environnement jugé hostile, puisque des zones à l’abri des variations du niveau des eaux, existent à proximité.

À 12 m de profondeur, Put Blanc I et Put Blanc II présentent d’importants ensembles de pieux. Ces deux zones, distantes d’une dizaine de mètres l’une de l’autre, correspondent à deux habitats construits sur une légère surélévation de terrain par rapport au niveau du plan d’eau primitif. Put blanc III correspond à un habitat plus structuré. Il s’agit du plancher d’une cabane aménagée sur un promontoire de superficie réduite. Il s’agit d’une pièce rectangulaire de 4,60 m de longueur sur 3,30 m de largeur. Cet espace de 15 m². Au centre de cet habitat on peut noter la présence d’une sole de foyer en argile d’un mètre de diamètre. Les tessons de poterie sont abondants sur l’ensemble de la zone archéologique, mais leur densité est beaucoup plus importante sur les espaces d’habitat. Les coupes ou les vases de formes et de tailles très variées s’apparentent à ceux bien connus sur les sites du premier âge du fer. On rencontre en particulier des décors rubanés en relief, présents déjà à l’âge du bronze. Les datations effectuées sur les pieux confirment une occupation du site de Put Blanc pendant toute la période du premier âge du fer.

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4-Les PIROGUES du LAC de SANGUINET

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Deux d’entre elles ont fait l’objet d’un traitement de conservation dans le laboratoire Art-Nucléart de Grenoble.

Ces deux pirogues ont été installées dans une salle vitrine, à température et hygrométrie régulées, pour être présentées au public. Au Musée de Sanguinet, vous pourrez admirer ces reliques et rêver aux peuples de l’eau…

Cliquez sur le lien ci-dessous pour ouvrir le lien avec le Musée de Sanguinet :

http://www.sanguinet.com/decouvrir/le-musee-du-lac/

Nous avons reconstruit à l’identique une pirogue et, après des premiers essais de navigation concluants sur le lac, nous avons tenté de passer la barre à l’océan. Cette expérimentation nous paraissait nécessaire, car nous pensons que ces pirogues, certes, si elles naviguaient sur le lac devaient aussi caboter le long des côtes du golfe de Gascogne. Là aussi les essais ont été concluants.

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 Aujourd’hui, seuls les plongeurs ont le privilège de voir ces embarcations. Aussi deux pirogues ont été extraites du lac et après un traitement de quatre années à Grenoble, aujourd’hui elles sont présentées au public au musée municipal de Sanguinet.

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Après avoir remercié comme il se doit André TARTAS pour ce brillant et enrichissant exposé, nous avons comme à l’accoutumée, souhaité les anniversaires des natifs d’avril et donné quelques informations sur le fonctionnement de notre Association :

Les réunions à venir

    Jeudi 21 Mai : Delphine MARTINS qui viendra nous parler du  projet d’expérimentation sur la pêche à pied, en concertation avec des partenaires locaux, intitulé programme Life +, expérimentation pour une gestion concertée et durable de la pêche à pied de loisir.  

   26 juinSoirée Ludique de Fin de saison. 

Téléthon 2015 : Une première réunion est prévue le mardi 5 mai 2015.

Fêtes à GUJAN auxquelles nous participons :

14 Juillet au Port de Larros : Groupe ROGER BIWANDU ALL STARS BAND qui font revivre la musique du Godfather of Soul, à savoir le seul et unique James Brown !!!

GUJAN-MESTRAS en FETES :

  • La prochaine Assemblée Générale de GUJAN-MESTRAS en FETES aura lieu le lundi 1er juin à la Maison des Associations à 18h30,
  • le chemin menant de la Rue Aimé BROUSTAUT au parking des Bénévoles sera éclairé pendant les Fêtes,
  • Pendant les 4 jours au Grand Restaurant : Orchestre Jean-Michel CURSAN.

Spectacles

Jeudi 6 Août : les 4 finalistes de The VOICE

Vendredi 7 Août : Podium Surprise

Samedi 8 Août : Groupe Tenue de Soirée

Dimanche 9 Août : Spectacle « Les Années BOUM » 

Soirée des Bénévoles : le vendredi 4 septembre au Port de Larros avec le groupe ROGER BIWANDU ALL STARS BAND.

Puis nous avons savouré le buffet concocté par la Commission Restauration.

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Dommage qu’il n’y ai pas l’odeur mais dans la salle d’à côté, ils salivaient ….

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Si vous êtes un peu curieux et si vous voulez en savoir davantage sur cette page d’histoire et  de notre histoire locale, allez fouiller un peu sur internet. Vous y trouverez une foule de renseignements sur cette époque.

Cliquez  sur ce lien : 

https://www.google.fr/?gws_rd=ssl#q=le+fanum+de+losa

et consultez les sites qui vous sont proposés. C’est très intéressant.

Il existe aussi un livre édité par G.A.Ï.A Editions.

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Et aussi un DVD

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Notre prochaine réunion aura lieu le Jeudi 28 Mai

 

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les Anniversaires d’Avril

Posté : 7 avril, 2015 @ 8:36 dans Les Anniversaires | Pas de commentaires »

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Si en avril le fameux dicton est : en avril ne te découvre pas d’un fil, avril est aussi le mois des naissance de 8 de nos adhérents. Nous leur souhaitons un bon anniversaire.

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Origine Wikipédia.

Les origines du poisson d’avril restent obscures mais la tradition festive de personnes qui sont l’objet de farces ou de satires existe dans plusieurs cultures depuis l’Antiquité et le Moyen-âge : Fêtes Religieuses Romaines des Hilaria des célébrées le 25 mars, la Holi, fête des couleurs hindouiste, Sizdah bedar fête persane, Pourim fête juive ;  Fête des Fous médiévale en Europe.

Une première explication relie le poisson d’avril à la Pâques qui marque la fin du jeûne du carême, le poisson prenant une place alimentaire importante à cette période. De plus, l’ichthus chrétien symbole graphique représentant un poisson, est un acronyme du nom de Jésus utilisé du 1er au IV siècle et le mot poisson serait une corruption du mot Passion.

Le 1er avril :En avril, ne te découvre pas d’un fil ; en mai, fais ce qu’il te plaît.Pluie de Saint-Hugues à Sainte-Sophie, remplit granges et fournils.Les pâques pluvieuses sont souvent fromenteuses, et souvent menteuses.Au premier avril, souvent dans ton dos tient un fil.

Le propre jour des Rameaux, sème oignons et poireaux.

Au premier avril, poisson se faufile.

Avril entrant, coucou chantant, sonnailles tintant.

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Les Dictons d’Avril

Le 7 avril :
En avril, le sureau doit fleurir, sinon, le paysan va souffrir.
Avril mou rend l’usurier fou !
Belles journées en avril, préparent un mois de mai fertile.

Le 10 avril :
Souvent à Saint-Macaire, reviennent les giboulées d’hiver.
Quand arrive la Saint-Fulbert, dans la campagne tout est vert.

Le 20 avril :
À la Saint-Théodore, fleurit chaque bouton d’or.

Le 21 avril :
Tel temps à la Saint-Anselme, tel temps pendant une semaine.
À la Saint-Anselme, les dernières fleurs on sème.

Le 27 avril :
À la Sainte-Zita, le froid ne dure pas.
À Saint-Frédéric, tout est vert, tout est nids ; plantes, bêtes et puis gens, tout sourit.

Le 28 avril :
À la Saint-Vital, pluie et gel font tout le mal.
À la Sainte-Valérie, souvent le soleil luit.

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